Coed Report: Yuko’s White Breasts aka Jokôsei report: Yûko no shiroi mune (1971)

coed.report.yukos.white.breasts159 Inédit Premier film de Yukihiko Kondô comme réalisateur et de Yuko Katagiri comme actrice principale. Malgré d’indéniables qualités esthétiques, le film laisse un goût désagréable et amer de « sexploitation » gratuite du fait du scénario d’Akira Nakano.

Résumé : Yuko Katagiri en pince pour son enseignant Ishida sensei qui doit bientôt s’exiler. Le bougre, malgré son envie, repousse la donzelle. Celle-ci est prise entre ses  hormones qui la travaillent durement et son amour romantique. Cela ne se passera pas bien.

Proposition de titre français : Dossier « Lycéennes » : Les seins blancs de Yuko (même si je n’ai pas remarqué le côté « blanc »)

Commentaire sur le film : J’ai un peu de mal avec ce type de film où s’aperçoit que le scénario n’a en fait qu’un seul objectif : faire subir toutes les scènes érotiques à la petite nouvelle dans le Roman Porno, l’ingénue Yuko Katagiri : la douche entre filles, les caresses romantiques dans la cabane, les plaisirs saphiques, une orgie (jusqu’à ce stade le film restait plaisant malgré l’abondance) puis le viol (et là cela devient glauque) et l’abus final , seul le bondage lui est épargné. Lire la suite

Zoom Up: Seiko’s Thigh aka Seiko no futomomo: Zoom Up (1982)

126 Le 1er volet de la « faible » série des « Seiko, cuisses humides », meilleur que le volume 2 en raison du rythme qu’ a su donner Koyu Ohara, maître des comédies populaires, même si Mayumi Terashima manque d’un certain charisme.

Résumé : Toshihiko (Jun Ueno), photographe amateur est secrètement amoureux de son innocente voisine Seiko (Mayumi Terashima) qui en pince pour son professeur de littérature. Le parcours vers l’amour y compris physique va être bien tumultueux.

Proposition de titre français : Seiko « Cuisses humides » Vol 1 : On se zoome ? (plus léger que  « le gros zoom »)

Commentaire sur le film : Koyu Ohara qui fait une apparition dans ce film, arrive à éviter le naufrage de cette histoire de dépucelage sans grand intérêt. Son sens du rythme,  l’enchaînement des situations qui perturbent la fidélité de Toshihiko, naïf mais bien équipé permet de suivre ce film sans Lire la suite

Angel Guts: Red Porno aka Tenshi no harawata: Akai inga (1981)

Angel Guts-Red Porno (1981)056 Le 4ème volet de la série de Takashi Ishii (le 3ème tradhisé ici) est toujours aussi sombre et sans espoir mais bénéficie de la présence de Jun Izumi et de la réalisation de Toshiharu Ikeda. +18ans

Résumé : Nami (Jun Izumi), petite vendeuse dans un grand magasin se retrouve « par erreur » modèle pour une scéance photo porno. Sa vie déjà bien fragile va basculer entrainant un autre être à la dérive.

Commentaire sur le film : les Angel Guts sont noirs et surtout sans espoir. Personne n’échappe à sa petite vie minable si ce n’est par le tragique. Si le volume 2 l’atteignait souvent, le 1, par rares moments, ce volume 4 l’effleure à peine. Lire la suite